À assurer le même service avec plus d’étudiant.es, toujours moins de moyens, à un moment ce n’est plus possible de gérer la pénurie et de ne rien dire ! Contrairement à l’hopital, personne ne risque de mourir (tout de suite) à l’université, mais les personnels sont en souffrance en raison du manque de moyen, et l’université a une mission à remplir.